Cerveau à bord

Votre cerveau est la caractéristique de sécurité la plus importante de votre véhicule.

Cerveau à bord

Votre cerveau est la caractéristique de sécurité la plus importante de votre véhicule.

Rechercher
Fermer ce champ de recherche.
Rechercher
Fermer ce champ de recherche.

Les facteurs humain

La recherche sur le facteur humain ou « ergonomie », étudie les interactions de l’humain avec les diverses facettes du monde concret, en cherchant à les rendre plus sécuritaires, plus saines et plus efficaces.

Ce champ de recherche pluridisciplinaire couvre un large éventail d’applications allant de la sécurité routière à la prestation des soins de santé, en passant par les systèmes physiques, cognitifs et technologiques.

Un rebranding visuel est en cours pour ces ressources.

Cliquez sur l’un des liens ci-dessous pour voir comment ces comportements courants des conducteurs peuvent avoir une influence sur les performances de vos fonctions de sécurité.

Un changement de marque visuel est en cours pour ces ressources.

Dans le contexte de la sécurité routière et des équipements automobiles connexes, la recherche sur le facteur humain cherche à comprendre le rôle du conducteur dans la conduite sécuritaire de son véhicule. Divers facteurs entrent en jeu dans le comportement de la personne au volant; ils peuvent être d’ordre environnemental ou psychologique, ou relever de la conception du véhicule. Le but de cette recherche est d’exposer ces facteurs, de déterminer l’étendue de leurs effets sur l’efficacité des actions du conducteur et de modifier la conception du réseau routier ou du véhicule pour atténuer les comportements non sécuritaires et rendre le conducteur plus compétent. Les fonctions de sécurité d’un véhicule font partie d’un système de conduite sécuritaire qui intègre le facteur humain; les interactions du conducteur avec ces fonctions déterminent aussi bien le bilan sécurité de la personne au volant que l’efficacité des fonctions censées le protéger.

Lors d’un sondage de la Fondation de recherches sur les blessures de la route au Canada (FRBR) mené en 2012, certains conducteurs ont affirmé qu’ils se permettraient des pratiques de conduite non sécuritaires, telles que la distraction et l’excès de vitesse, au motif que leur véhicule est équipé d’une pleine batterie de technologies de sécurité. On trouve là un parfait exemple de l’incidence du facteur humain sur les avantages potentiels des fonctions de sécurité du véhicule. Toutefois, le facteur humain n’est pas toujours aussi flagrant. Une mauvaise compréhension du fonctionnement des systèmes de sécurité peut avoir un effet défavorable subtil sur les bénéfices que le conducteur pourra en retirer. Dans l’essence, si le conducteur ne connaît pas bien les fonctions de sécurité de son véhicule – ou même la signification de certains symboles sur le tableau de bord – il apparaît probable que les avantages prévus en matière de sécurité ne seront pas entièrement concrétisés.

Le facteur humain ne se limite pas nécessairement à des comportements non sécuritaires, comme l’excès de vitesse ou la pratique de coller au pare-chocs de la voiture devant. L’âge, l’expérience de conduite, le degré d’attention et l’entretien du véhicule peuvent aussi avoir un effet en aval sur l’efficacité des systèmes de sécurité. Étant donné que le conducteur forme une part indispensable du système de sécurité, tout facteur qui le touche a également un effet sur la sécurité routière en général.